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Avant de rejoindre Arcos, j'étais comme ces voiliers modernes qui ont besoin de déjauger pour avancer à vive allure. Tant que leur coque reste dans l'eau, ils voguent lentement. Lorsqu'ils ont acquis assez de vitesse, que le vent les porte bien et qu'ils ont trouvé le bon cap, ils se dressent sur leur quille, toute leur coque hors de l'eau, et ils fendent les flots comme des oiseaux, sans aucun effort. Au sein du cabinet, j'ai construit une offre avec d'autres pairs, ce qui nous permet aujourd'hui de gagner des projets plus intéressants que nous menons en équipe.
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Un important groupe Américain m’a proposé de créer sa filiale française. Le projet nécessitait 18 mois de préparation. Je n’ai pas jugé opportun de créer immédiatement la structure, d’en devenir mandataire et donc de perdre mes droits aux Assedic. En tant que salarié Arcos, j’ai pu construire le projet en toute tranquillité d’esprit. J’ai porté tous mes efforts sur l’opérationnel sans avoir à entrer dans les méandres juridiques. Aujourd’hui, j’ai quitté Arcos, créé la société et en suis le dirigeant.
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